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Charlotte Gainsbourg, Beck et l'underground québécois.

today25/08/2009

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Le prochain album de Charlotte Gainsbourg, qui sortira avant la fin de l’année, a été enregistré à Paris et à Los Angeles avec un collaborateur prestigieux à l’écriture et à la réalisation: Beck. [caption id="attachment_2959" align="aligncenter" width="435" caption="Photo: Reuters"]Photo: Reuters[/caption]  

Le disque en question comprendra au moins 11 chansons, toutes en anglais sauf pour un «classique de l’underground québécois», écrivait le magazine Les Inrockuptibles en juin dernier.  Quel classique de l’underground québécois? Interrogée par La Presse, la mère de la chanteuse, Jane Birkin, a confirmé la chose, mais n’a pas voulu en dire davantage.  «Je sais parce que Charlotte me l’a fait écouter, mais je ne vous le dirai pas. C’est extraordinairement drôle», s’est contentée de dire Birkin en rigolant.  Pour le moment, trois titres de l’album sont connus: In the End, Heaven Can Wait et Masters Hand. Beck a déjà dit qu’il devait participer à l’album précédent de Charlotte Gainsbourg, 5:55, sorti en 2006, mais qu’il n’avait pas pu.  L’actrice-chanteuse avait alors collaboré avec Air, Jarvis Cocker et le réalisateur Nigel Goodrich, ainsi que le père de Beck, David Campbell, pour les arrangements de cordes, qui devrait également être du nouvel album.  Après la sortie du disque, Charlotte devrait donner des spectacles pour la première fois, nous a aussi confirmé Jane Birkin, qui s’éclipsera de la scène pour lui laisser toute la place. Alain de Repentigny La Presse (extrait de Cyberpresse)
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Écrit par: Jean-Claude

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