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Michel Rivard tente un retour à Paris.

today21/07/2010 1

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Après avoir pris part aux Francofolies de La Rochelle la semaine dernière, Michel Rivard prépare son retour à Paris. Il s’y produira deux fois l’automne prochain, apparemment avec l’intention d’y retenter sa chance, 20 ans ou presque avoir fait son unique Olympia en solo.

[caption id="attachment_5254" align="aligncenter" width="300" caption="Photo: Robert Skinner, La Presse"][/caption] «C’est un premier pas. Michel Rivard a clairement envie de retravailler le marché français», explique le directeur du service culturel de la Délégation générale du Québec à Paris, Bertin Leblanc. M. Leblanc n’est pas étranger au retour à Paris de Rivard, lui qui a proposé à l’ex-leader de Beau dommage de donner le coup d’envoi de la prochaine saison culturelle québécoise en France, le 29 septembre à l’Européen. Quelques jours plus tôt, le 24, Rivard, aura par ailleurs inauguré, aux côtés du rappeur Samian, le Festival America, qui réunit tous les deux ans des écrivains et des artistes des deux Amériques. Huit auteurs québécois y prendront part. Dans la foulée de ces deux prestations parisiennes, Michel Rivard ira se produire en province et à Bruxelles, indique-t-on. La semaine dernière, le chanteur était aux Francos de La Rochelle, en première partie du groupe français Malicorne, «première partie de luxe», comme l’a écrit le journal La Croix, pendant laquelle le public a repris La Complainte du phoque en Alaska «en un sublime instant de nostalgie et de communion». Auteur méconnu d’une oeuvre culte, Michel Rivard jouit d’un statut étrange en France. Le répertoire de Beau dommage -à commencer par La Complainte– est célèbre, mais pas Rivard, dont la carrière solo, malgré un Prix Charles Cros en 1988 pour Un Trou dans les nuages, n’a jamais vraiment décollée. Ses passages à Paris, après la dissolution de Beau dommage, se comptent sur les doigts de la main: la Gaité Montparnasse et la première partie de son ami Maxime Le Forestier à l’Olympia en 1978, la Gaité de nouveau en 1980, le Bataclan en 1988, l’Olympia en 1993, puis plus rien. Le temps est sans doute venu de mettre fin à cet étonnant silence. Michel Dolbec La Presse Canadienne
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Écrit par: Jean-Claude

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