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Artistes

La Volée d’Castors.

today02/08/2007 37

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Biographie Le début des années 90 marque le commencement de l’aventure de La Volée d’Castors.

En 1993, la formation est alors composée de quatre membres soit Nicolas Froment, Mathieu Lacas, Martin Mailhot et Sébastien Parent. Au cours de cette année, les membres ont l’occasion de se produire au Stade olympique de Montréal dans le cadre de l’Expo Jeunesse. De plus, l’enregistrement de l’album Galant a lieu en 1994 au Studio 9e ciel à Montréal. Il s’agit du premier album de la formation.

En 1995, un nouveau membre, Frédéric Bourgeois, se joint à la formation. Cette même année, La Volée d’Castors, en plus de participer au Festival Mémoire et Racines dans Lanaudière, prend aussi part au Festival Boréal de Sudbury en Ontario. C’est alors le premier spectacle de la formation à l’extérieur de la province.

Un autre musicien, Réjean Brunet, s’ajoute à La Volée d’Castors en 1996. Les membres de la formation deviennent par la suite, et ce pendant un an, les musiciens officiels de la troupe de danse traditionnelle lanaudoise les Petits Pas Jacadiens. La Volée d’Castors a également l’occasion de se produire de nombreuses fois durant le temps des sucres à la Sucrerie de la Montagne à Rigaud.

L’année 1997 est ponctuée par de nombreux déplacements à l’extérieur de la région. En effet, il s’agit d’une période très mouvementée pour la formation qui commence à présenter de plus en plus de spectacles un peu partout. Elle participe de nouveau au Festival Mémoire et Racines, au Mondial des Cultures de Drummondville et aux festivités de la Saint-Jean-Baptiste sur les plaines d’Abraham à Québec devant plus de 120 000 personnes. La Volée d’Castors prend réellement un tournant particulier cette année-là en donnant son premier spectacle outre-mer au Festival Folklore du Monde de Saint- Malo en France.

En 1998, un deuxième album voit le jour pour La Volée d’Castors. Par monts et par vaux est lancé au Cabaret à Montréal et au Musée de la civilisation à Québec. Cette année est également l’occasion d’effectuer une entrée remarquée dans le milieu télévisuel. La formation a tout d’abord la chance d’offrir une performance en direct au cours de l’émission Flash sur les ondes de TQS. Elle passe ensuite la veillée du jour de l’an avec Jean-Marc Parent à l’Heure JMP, une émission diffusée en direct sur les ondes de TQS et sur 22 stations de radio simultanément !

Les spectacles ne cessent de s’enchaîner pendant que l’année 99 prend son envol. Tout d’abord, la formation participe au Festival Vue sur la Relève à la Maison de la culture Villeray de Montréal, retourne au Mondial des Cultures de Drummondville, participe au Francofolies de Montréal et joue ses compositions aux États-Unis à l’occasion du New Music Festival qui se déroule au Vermont. De plus, La Volée d’Castors offre deux spectacles au Cabaret à Montréal. Un vidéo-clip est aussi tourné pour la chanson Belle embarquez ! et une publicité télévisée est diffusée sur les ondes de LCN.

Le nouveau millénaire commence en grand et de nombreux spectacles ont lieu un peu partout en Amérique du Nord. On croise entre autres La Volée d’Castors au Ottawa Folk Festival, à la Fête franco-albertaine à Grande-Prairie en Alberta, à la Fête fransaskoise à Zenon Park en Saskatchewan, à la Foire Brayonne au Nouveau-Brunswick, au Calgary Folk Music Festival et au Vancouver Folk Music Festival.

De plus, La Volée d’Castors sonne le coup d’envoi du premier Roots Music Festival de Victoria avec le spectacle d’ouverture et participe à un des plus grands rassemblements de l’industrie de la musique folk en Amérique du Nord, le North American Folk Music and Dance Alliance à Cleaveland.

Parallèlement, les musiciens trouvent le temps d’enregistrer leur troisième album (VDC) au studio de Guy St-Onge à Saint-Calixte et de procéder à son lancement au Café Campus de Montréal et à la salle Rolland-Brunelle de Joliette. Pour VDC, La Volée d’Castors est nominée au Juno Awards 2000 dans la catégorie Best Roots and traditional album-group.

Finalement, elle entreprend sa première tournée en salle du temps des fêtes dans plusieurs villes québécoises dont Montréal, Québec, Granby et Magog.

Elle termine cette tournée à Montréal dans un Café Campus plein à craquer.

Le début de l’année 2001 commence avec deux spectacles au Vieux Clocher de Magog afin de poursuivre les festivités du temps des fêtes. Mais La Volée d’Castors ne reste pas en place bien longtemps. Elle commence alors une longue tournée qui l’amène un peu partout sur le globe. Tout d’abord, les musiciens participent au Frostbite Folk Festival de Whitehorse au Yukon, puis au Edmonton Folk Festival en Alberta et s’envolent ensuite en Europe pour une longue série de spectacles.

Celle-ci débute au Festival de la cité en Suisse et se poursuit en Italie, en Espagne, en Angleterre et en Suède, pour se terminer en Hollande avec une participation au showcase Womex de Rotterdam.

De retour au bercail, La Volée d’Castors entame une tournée québécoise qui lui permet de visiter plusieurs villes. Elle voit finalement tous ses efforts récompensés lorsqu’elle remporte un Félix pour le meilleur album traditionnel avec VDC au gala de l’ADISQ 2001.

La formation termine cette année des plus chargées avec une prestation live sur les ondes de CKMF 94,3 FM pour le party du temps des fêtes en compagnie de Mitsou Gélinas, de Pierre Pagé et de toute l’équipe.

L’année 2002 amène quelques changements au sein du groupe. Effectivement, Nicolas Froment quitte la formation, mais ce dernier se voit immédiatement remplacé par le Gaspésien Steve Boulay. Tout comme l’année précédente, La Volée d’Castors part ensuite pour l’Europe où elle participe à l’Expo universelle de Thun en Suisse et part en tournée en Espagne, en France et en Angleterre. Elle s’arrête notamment au Hebridean Celtic Festival de Scotland.

La formation retourne en France par la suite pour une série de spectacles dans plusieurs villes et quitte pour le Danemark, où elle participe au Tonder Folk Festival. À son retour chez elle, La Volée d’Castors est en spectacle à deux reprises avec la Bottine Souriante au Centre Pierre-Péladeau de Montréal, puis part pour une tournée au Québec qui l’entraîne entre autres à Rimouski, Tadoussac, Granby et Joliette.

Au cours de l’année 2003, la formation lance au Cabaret à Montréal son quatrième album appelé Migration. C’est le début de la collaboration avec les gens de La Compagnie Larivé Cabot Champagne. Par la suite, de nombreux spectacles attendent les musiciens autant au Canada et en Europe qu’aux États-Unis. La Volée d’Castors en profite pour partir à la rencontre de nouveaux pays, dont l’Australie, la Nouvelle- Zélande, la Malaisie et le Japon.

En effet, la formation prend part au WOMADelaïde en Australie, à la Fête de la Francophonie à Tokyo au Japon et au Rain Forest World Music Festival en Malaisie.

Aussi, La Volée d’Castors offre une série de spectacles en Angleterre, participe au New Orleans Jazz and Heritage Festival et au Vancouver Folk Music Festival.

L’année 2004 est marquée par une réorganisation interne. En effet, La Volée d’Castors décide de prendre en charge elle-même sa destinée. Elle assure désormais fièrement seule depuis ce jour sa gérance et la vente de ses spectacles. N’arrêtant devant rien, la formation part en tournée au mois de mai en Belgique, donne quelques représentations au Québec et est en visite en Espagne et aux États-Unis.

En 2005, les projets abondent toujours pour la formation. En effet, La Volée d’Castors se produit au Petit Champlain à Québec et participe pour une deuxième fois au North American Folk Music and Dance Alliance à Montréal. Elle offre en plus deux spectacles au Tulsa Performing Arts Center des États-Unis et devient porte-parole de l’événement Secondaire en Spectacle pour la région de Lanaudière.

En juin, la formation prend part aux festivités de la Fête nationale à Joliette devant plus de 25 000 personnes. De plus, La Volée d’Castors offre plusieurs spectacles au Québec et au Vermont, participe en août aux Francofolies de Montréal, se produit à l’occasion de la Traversée Internationale du lac Memphré-Magog et retourne une seconde fois au Edmonton Folk Festival. Par ailleurs, une série de spectacles se déroule au Danemark et en France, notamment au Festival Interceltique de Lorient.

Les musiciens reviennent finalement au Québec en septembre et se préparent à la sortie de leur cinquième album enregistré devant public à la salle La Mitaine de Joliette. Y’a du monde à messe, une production de La Compagnie Larivée Cabot Champagne, prend son envol au début du mois de novembre. La fin de l’année approche et la formation se prépare à la tournée du temps des fêtes. Plusieurs villes québécoises sont au programme, mais une soirée particulière est à ne pas manquer ; le spectacle du 31 décembre en compagnie de la Bottine Souriante à la salle Rolland-Brunelle du Centre culturel de Joliette !

La formation retourne en France par la suite pour une série de spectacles dans plusieurs villes et quitte pour le Danemark, où elle participe au Tonder Folk Festival. À son retour chez elle, La Volée d’Castors est en spectacle à deux reprises avec la Bottine Souriante au Centre Pierre-Péladeau de Montréal, puis part pour une tournée au Québec qui l’entraîne entre autres à Rimouski, Tadoussac, Granby et Joliette.

Au cours de l’année 2003, la formation lance au Cabaret à Montréal son quatrième album appelé Migration. C’est le début de la collaboration avec les gens de La Compagnie Larivé Cabot Champagne. Par la suite, de nombreux spectacles attendent les musiciens autant au Canada et en Europe qu’aux États-Unis. La Volée d’Castors en profite pour partir à la rencontre de nouveaux pays, dont l’Australie, la Nouvelle- Zélande, la Malaisie et le Japon.

Plusieurs villes québécoises sont au programme, mais une soirée particulière est à ne pas manquer ; le spectacle du 31 décembre en compagnie de la Bottine Souriante à la salle Rolland-Brunelle du Centre culturel de Joliette !

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Écrit par: Jean-Claude

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