Annabelle Askinn la génération montante du jazz !!

  Ses reprises de « I will always love you » « Mon dieu » et « Summertime » surprennent… Sa voix intéresse très rapidement des auteurs, compositeurs, producteurs…  C’est également la rencontre avec le guitariste, auteur-compositeur-arrangeur Didier Bégon avec qui elle partage la scène depuis le départ. Elle prend des cours de chant avec Jasmine Roy, Angie, Nicolas Pelacy, Brice Davoly … Elle chante des duos avec Vincent Heden et Laurent Bàn et fait de nombreuses premières parties d’artistes renommés. Depuis, Annabelle a participé à différents festivals et se produit sur de nombreuses scènes :   En Découvrance, Beauvais, Le Petit journal, Les Musics Stars, Le Cafmuz, L’Avant Seine, L’Ile Marante, Le Festival québécois d’Ile-de-France, Le Tapis Rouge, Air France, Les Docks… Au fur et à mesure des spectacles, son style s’affirme avec des couleurs très blues jazzy soul. Elle crée avec ses musiciens une manière très personnelle de chanter. Annabelle devient une chanteuse bien actuelle avec un phrasé et un timbre qui ne sont pas sans rappeler Sarah Vaughan. C’est ainsi qu’elle est retenue pour la première partie de John Mac Laughlin au Enghien Jazz Festival, où la surprise des spectateurs est entière.  Annabelle cultive cet art de surprendre. Mais elle se plait aussi  à dire : « Même si j’ai une voix qui peut surprendre, je sais que j’ai encore beaucoup à apprendre ». Aujourd’hui elle propose un répertoire varié comprenant des compositions originales et des grands standards allant du « hallellujah » de Léonard Cohen à une version de « Angie » des Rolling Stones en passant par une interprétation personnelle de «  Poor Johnny » de Robert Cray…   Annabelle Askinn Ses musiciens Un accompagnement musical inédit composé uniquement de cordes Didier Bégon, guitariste, compositeur-arrangeur Olivier Leclerc, violoniste Frédéric Amann, violoniste Grégoire Dubuel, contrebassiste Extraits audio et vidéo : http://www.myspace.com/annabelleaskinn   Média : Pour la neuvième édition de son Festival de jazz, sa directrice artistique, Blandine Harmelin, a remis le jazz vocal féminin à l’honneur lors des débuts de soirée du casino. Au milieu de performances de haut niveau, nous retiendrons d’abord Annabelle Askinn, une jeune femme d’à peine 20 ans qui a su toucher le cœur des spectateurs par la richesse de sa voix et son implication totale dans la musique. Accompagnée de deux violonistes (Olivier Leclerc et Frédéric Ammann, complices et talentueux), du guitariste Didier Bégon et du contrebassiste Grégoire Dubruel, elle réussissait sans mal à envoûter son auditoire avec une maturité étonnante pour son âge… Extrait d’un article écrit par le journaliste Antoine Gresland     Booking, contact scène : Alain Perron (06 88 46 87 28) – alainperron.organisation@orange.fr   

Pour la neuvième édition de son Festival de jazz, sa directrice artistique, Blandine Harmelin, a remis le jazz vocal féminin à l’honneur lors des débuts de soirée du casino. Au milieu de performances de haut niveau, nous retiendrons d’abord Annabelle Askinn, une jeune femme d’à peine 20 ans qui a su toucher le cœur des spectateurs par la richesse de sa voix et son implication totale dans la musique. Accompagnée de deux violonistes (Olivier Leclerc et Frédéric Ammann, complices et talentueux), du guitariste Didier Bégon et du contrebassiste Grégoire Dubruel, elle réussissait sans mal à envoûter son auditoire avec une maturité étonnante pour son âge…

Extrait d’un article écrit par le journaliste Antoine Gresland

Booking, contact scène : Alain Perron (06 88 46 87 28) – alainperron.organisation@orange.fr